samedi 23 février 2013

TRAITER LA DIARRHEE A DOMICILE

un bébé malade sur son lit


Une mère doit savoir comment prévenir la déshydratation en donnant davantage de liquides à l’enfant. ‘’ Davantage de liquides ’’ signifie plus de liquides que d’habitude.
               *Donner davantage de liquides (autant que l’enfant veut bien prendre )
-Si le bébé est nourri uniquement au sein, il faut allaiter plus fréquemment au sein et prolonger la durée de la tétée.
-Si l’enfant n’est pas nourri uniquement au sein, il faut lui donner plusieurs fois des solutions suivantes : solution de SRO, aliments liquides ( potage ,yaourt liquide ou de l’eau propre).
                 *Il faut continuer à alimenter l’enfant correctement
N’hésitez surtout pas à consulter un médecin, il vous conseillera mieux car il y a plusieurs formes de diarrhée.  

Sachez qu’avec la diarrhée, il faut éviter au maximum les antibiotiques, sauf si c’est la prescription d’un médecin. Les antibiotiques n’ont aucun effet sur la plupart des types de diarrhée. Ils sont rarement utiles et rendent certains enfants encore plus malades. L’utilisation inutile d’antibiotique peut renforcer les résistances de certains germes pathogènes. De plus, les antibiotiques sont chers. De l’argent est souvent gaspillé en traitements inefficaces. Il ne faut donc pas donner systématiquement d’antibiotique à votre bébé sans avis du médecin. Le médecin peut prescrire des antibiotiques pour des cas de DESHYDRATION SEVERE avec cholera et de DYSENTERIE.


Ne jamais donner des médicaments antidiarrhéiques ou des antiémétiques à des enfants ou à des nourrissons. Ces médicaments aident rarement à traiter la diarrhée et certains sont dangereux. Les médicaments dangereux sont les médicaments inhibant la motilitétricité intestinale ( tels que codéine, teinture d’opium, diphénoxylate, lopéramide ) ou les médicaments antivomitifs ( tels que chlorpromazine ) . Certains de ces médicaments dangereux peuvent causer une paralysie intestinale ou rendre les bébés anormalement endormis. Certains peuvent être mortels , surtout chez les nourrissons . D’autres médicaments antidiarrhéiques , bien que non dangereux n’ont aucun effet sur la diarrhée. Il s’agit d’absorbants comme le kaolin, la smectite et le charbon.

vendredi 22 février 2013

CALMER LA DOULEUR DE LA GORGE ET LA TOUX AVEC UN REMEDE INOFFENSIF

on peut utiliser les conseils des parents suivre son bébé

Utiliser un remède inoffensif pour calmer la douleur de la gorge et la toux. Ce type de remède peut être fabriqué à domicile, donné au dispensaire ou acheté en pharmacie. L’important est que ces remèdes  soient inoffensifs. Les remèdes-maison sont tous aussi efficaces que les remèdes achetés dans un magasin.





   1-Remèdes inoffensifs recommandés :

      -Lait maternel, pour les nourrissons exclusivement allaités au sein.

      -sirop : une mesure  de jus de citron + une mesure de miel + une mesure d’eau.

       -sirop expectorant ( en pharmacie )





  2-Remèdes dangereux à déconseiller

-antitussif, antihistaminique

Il est recommandé d’utiliser des remèdes calmants inoffensifs pour les bébés qui ont des douleurs de gorge ou qui toussent. Si l’enfant est exclusivement allaité au sein , ne pas donner d’autres liquides ou remèdes. Le lait maternel est  le meilleur remède  pour soulager les bébés exclusivement allaité au sein.





Des remèdes dangereux sont peut être utilisés dans votre région . Ne jamais utiliser des remèdes contenant des éléments nocifs tels que l’atropine , la codéine ou ses dérivés, ou l’alcool. Ces produits peuvent avoir un effet sédatif sur l’enfant. Ils peuvent avoir des effets nocifs sur l’alimentation de l’enfant ou empêcher l’enfant d’expectorer les sécrétions pulmonaires.  Les gouttes nasales médicamenteuses  ( c’est-à-dire les gouttes pour le nez qui contiennent  tout autre chose que du sel ) ne doivent pas non plus être utilisées.

Il n’y a pas d’explication particulière sur la façon de donner un remède inoffensif, il est inutile de s’attarder sur la pratique de l’administration du remède à l’enfant. Le dosage précis n’est pas important pour ce traitement. Il ne faut tout de même pas faire boire une énorme quantité à l’enfant. Au cas où le mal de gorge et la toux ne se calment pas , n’hésitez surtout pas de passer voir le médecine suiveur de votre bébé ou le centre de santé le plus proche.


jeudi 6 décembre 2012

La conversation avec votre enfant est impériale

La sécurité des bébés et enfants compte d'abord

Il s'agit d'une conversation d'une importance vitale qui ne vous est probablement jamais venu à l'esprit. Un des faits les plus étonnants que j'ai appris au cours de ces dernières années, en discutant avec les autres, pendant mes voyages, et à la lecture de nombreux journaux, c'est qu’un bon nombre de personnes aujourd’hui  âgées ont été violées durant leur tendre enfance.


La recherche nous dit qu’une fille sur quatre et un sur six garçons sont victimes de violences sexuelles avant l'âge de 18 ans. Le pourcentage le plus élevé est celui qui se passe en famille. L'inceste entre frères et sœurs est un problème grave que la plupart d'entre nous en avons entendu parler. L’inceste entre frères et sœurs se produit cinq fois plus que celui de l’inceste paternel.
Veillez à ce que cela n’arrive pas dans votre famille. Je sais maintenant que cela peut arriver dans n'importe quelle famille, car la plupart des enfants de 13 à 14  ans ne comprennent pas les conséquences à long terme de cet acte. Beaucoup d'enfants sont troublés par leurs pulsions sexuelles et doivent être en mesure d’en parler en toute sécurité avec des adultes sur la façon de gérer ces émotions fortes. Il ne tient qu'à nous d'apprendre à nos enfants à en parler.


 

Pourquoi vous devez mieux connaître les adolescents afin de bien les guider

Nous savons maintenant que les adolescents ne prennent souvent pas des décisions raisonnables parce que cette partie de leur cerveau est encore en développement. La partie principale du cerveau qui permet aux adolescents de prendre une décision raisonnable ou même  de les avertir des conséquences potentielles ne sont pas entièrement en place à cet âge. Cette recherche confirme l'importance de dire à nos enfants, dans un langage simple, ce qui est et n'est pas un comportement acceptable entre frères et sœurs.



 

Posez vos questions aux enfants

Savez-vous comment vos enfants se sentent à propos du viol ?
Par exemple, votre fils ne croit  pas qu'il y a certaines circonstances dans lesquelles on parle de viol ?
 Est-ce que votre fille pense qu'il est normal d’être violée par un garçon ?
 Vous pourriez être surpris par les réponses de vos enfants, comme des milliers d'autres parents l’étaient, après avoir lu les réponses de leur progéniture à une enquête qu'ils ont effectuée en ce qui concerne les relations sexuelles.


samedi 1 décembre 2012

7 FAÇONS DE RENFORCER LA CONFIANCE DE VOTRE ENFANT

la confiance d'un père en son flis

Voici l'un des meilleurs conseils pour parents que vous n’aviez, peut-être pas imaginé : « un enfant confiant est plus susceptible d'avoir du succès dans la vie, plus susceptibles d'être aimé dans la vie, et plus susceptibles d'être heureux dans la vie».
N'est-ce pas ce que  chaque parent veut ?
Voici 7 conseils parentaux pour bâtir la confiance de votre bébé:


1 - Félicitez votre enfant pour les choses qu'il a réalisées avec brio. Même si ce sont de petites choses. Il faut  les rendre importantes et lui faire savoir qu'il a bien fait.
2 - Laissez votre enfant faire des choses. Même si vous jugez qu’il n'est pas
tout à fait prêt à faire certaines tâches, l'aider à prendre un nouveau départ et ne vous inquiétez pas si cela ne se passe pas bien.
3 - Croyez en votre enfant et laisser le apprendre ! Ne lui mettez pas la pression pour quelque chose qu'il ne sait pas encore. Faites lui comprendre que vous croyez en sa capacité à (parfois) faire de grandes choses.



4 – Critiquez seulement un comportement - et non l'enfant. Toujours éviter de trop nombreuses critiques de lui quand il fait mal les choses. C'est beaucoup mieux de critiquer le comportement - de cette façon, il peut éloigner ce qu'il fait de ce qu'il est.

5 - Montrer un intérêt dans l'intérêt de votre enfant. Ils seront
probablement ennuyeux pour vous, et vous ne pouvez pas les comprendre. Mais ils sont importants pour lui, car pour lui, c’est une preuve d'un respect et d'intérêt pour les choses qu'il réalise.
6 - Accepter les peurs et l'insécurité de votre enfant. Il ne faut pas les banaliser ou les écarter. Rappelez-vous de l'époque où vous étiez jeune et les choses qui vous faisaient peur et essayer de comprendre.
7 - On dit que le rire est la meilleure médecine, et il est.
C'est pourquoi vous devriez toujours rire avec votre enfant. Un rire sain est une merveilleuse façon de se lier étroitement. Il y au moins quelque chose que vous aimez en commun que vous pouvez partager.

lundi 26 novembre 2012

LE STRESS ET LA GROSSESSE

la gossesse est toujours stressante

Pendant la grossesse, vous devez travailler sur le maintien d’un état physique, mental et spirituel  sain et  positif. Il y a des preuves substantielles qui affirment que le bien-être physique et mental de la mère pendant la grossesse peut affecter non seulement le résultat de leur grossesse, mais le bien-être de leur enfant plus tard dans la vie. La relation avec votre bébé commence dès le début de votre grossesse.

Il y a beaucoup de choses à part les facteurs physiques qui peuvent influer sur votre grossesse. Le stress est l'un des problèmes les plus courants de nombreuses femmes enceintes confrontées à un certain moment au cours de leur grossesse. Bien que le stress ne soit  pas toujours une mauvaise chose, un stress prolongé peut nuire à une grossesse. La plupart des gens associent le stress qui est nocif pendant la grossesse avec un travail physique. Cependant, le stress émotionnel peut être tout aussi dommageable. Le stress provoque effectivement la production de certaines hormones dans le corps, et certains scientifiques ont affirmé que ces hormones peuvent favoriser une fausse couche ou même provoquer le travail avant  la date réellement prévue.



Les conseils
La meilleure chose que vous pouvez faire pour assurer le bien-être de votre bébé est de minimiser le stress physique et émotionnel autant que possible. Voici quelques conseils pour réduire le stress durant  votre grossesse pour favoriser une issue heureuse et un enfant en bonne santé :
Acceptez le fait que vous êtes enceinte. Que vous le voulez ou non, votre grossesse va évoluer. Plutôt que de le voir comme un fardeau, considérez que c'est un grand moment de votre vie. Prenez le temps de vous gâter un peu et de vous donner plus de temps pour le repos et la relaxation.
 Avoir un bébé change tout. Si vous êtes le genre de personne qui se stresse facilement, gardez à l'esprit qu'il ya beaucoup de choses liées à la grossesse et à l'éducation des enfants, qui sera hors de votre contrôle. Vous ne serez pas par exemple en mesure de naviguer à travers la grossesse sans douleurs (sauf si vous avez une chance extraordinaire), mais vous pouvez travailler à les minimiser. Vous pouvez avoir d'autres symptômes tels que la fatigue et les nausées qui ne vont pas loin. Certaines femmes doivent aller de temps en temps se reposer au lit pendant la grossesse. Il suffit de reconnaître, cependant, que certaines choses ne sont pas sous votre contrôle et cela  vous aidera à avoir une meilleure emprise sur votre grossesse et vous armer pour faire face aux défis qui vous attendent.

jeudi 22 novembre 2012

ACCOUCHEMENT, PARLONS-EN ENCORE

La peur pour une maman qui attend sa fille qui accouche

LES ACCOUCHEMENTS DIFFICILES

L'accouchement ne se déroule cependant pas toujours dans les conditions idéales que nous avons décrites. Il arrive que le médecin décide qu'il ne pourra avoir lieu par les voies naturelles. Mais une naissance est également difficile en cas de souffrance fœtale ou lorsque le futur enfant se présente mal ou ne descend pas bien, soit que l'enfant se présente par le siège, soit que la tête soit retenue par un périnée trop tonique. 


LA CÉSARIENNE

C'est un geste opératoire courant, qui sera indiqué si le fœtus souffre et que la mère n'est pas encore prête à accoucher. Il est possible aussi que l'accouchement normal soit dangereux pour l'enfant, par exemple si la mère est affectée d'un herpès génital ou si la position du bébé est telle que l'on sait qu'il ne pourra pas sortir. 
Enfin, quelques complications peuvent être dangereuses pour la mère et son enfant. Par exemple, l'hématome rétroplacentaire impose une césarienne en urgence s'il existe des signes de gravité. 
La césarienne est une intervention qui consiste à inciser la paroi abdominale et l'utérus, afin de sortir l'enfant. Ce geste est rapide et permet de sauver l'enfant en cas d'urgence : la césarienne peut être réalisée sous anesthésie péridurale. 


LA PRÉSENTATION DE L'ENFANT PAR LE SIÈGE
Que se passe-t-il si c'est le siège, c'est-à-dire les fesses, qui se présente en premier dans la filière génitale, et non la tête ?  
En général, on sait dans les derniers temps de la grossesse quel sera le mode de présentation de l'enfant. L'échographie indiquera si c'est bien la tête qui s'engage ou si c'est le siège. 
Lorsque l'enfant se présente par le siège, la manœuvre de l'accouchement est délicate et exige une attention particulière de la part de l'équipe médicale. La mère prend une position identique à celle adoptée lors d'un accouchement normal, et elle est habituellement placée sous perfusion. Dès que le siège arrive au niveau de l'anneau vulvaire, le médecin, ou la sage-femme, effectue une épisiotomie (voir page précédente). En règle générale, le dos de l'enfant est orienté vers le haut, et l'accouchement se déroule sans problème : le médecin n'a qu'à soutenir le nouveau-né. 
Si le dos a tendance à s'orienter vers le bas, il faudra que le médecin tourne l'enfant avant que le bassin ne soit sorti. En effet, si le bas du corps du bébé sort disposé ainsi, alors que le dos est orienté vers le bas, sa tête restera accrochée par le menton à la symphyse pubienne. Le pronostic est alors tout à fait mauvais pour l'enfant. 
Lors de l'accouchement par le siège, il se peut aussi que les bras de l'enfant soient relevés, ce qui bloque sa descente. Dans ce cas, le médecin n'essayera pas de forcer le passage, mais il va faire tourner l'enfant de 90° dans un sens, puis dans l'autre, pour permettre aux bras de s'abaisser. Cette manœuvre ne retarde guère la fin de l'accouchement. 
Enfin, si la tête est retenue par un périnée tonique, comme c'est souvent le cas chez les primipares, c'est-à-dire chez les femmes qui accouchent de leur premier enfant, voici comment le médecin procède pour la libérer : après avoir abaissé au maximum la tête de l'enfant sous la symphyse, il le fait tourner autour du pubis en plaçant un doigt à l'intérieur de la bouche du bébé. 

samedi 17 novembre 2012

LES ÉTAPES DE L’ACCOUCHEMENT, SUITE

Une mère heureuse après son accouchement


L'EXPULSION DU BEBE


Elle débute lorsque le col de l'utérus est complètement ouvert. Le diamètre de ce dernier est alors d'environ 10 centimètres. Désormais, l'arrivée de l’enfant est imminente, cette phase ne dure que vingt à trente minutes pour une première naissance. 
À partir de ce moment-là, vous jouerez un rôle essentiel et très actif. En effet, les contractions atteignent alors le maximum de leur intensité, mais elles ne sont pas pour autant suffisantes pour expulser le bébé. Il vous faudra donc effectuer un effort de poussée important afin de faciliter la sortie de l'enfant. 
Lorsque vous sentirez venir une contraction, inspirez profondément, puis bloquez votre respiration et contractez fortement vos muscles abdominaux, en veillant à bien pousser vers le bas. Cette recommandation est très importante, car la mère a souvent tendance à pousser vers le haut, vers son visage. La poussée est alors moins efficace, et elle peut entraîner de petites ruptures de vaisseaux sanguins (notamment au niveau de la conjonctive de l'œil) sans gravité, mais inesthétiques. 
Enfin, pour mieux pousser, il faut également que vos pieds soient bien calés dans les étriers, et que vous attrapiez vigoureusement les barres disposées de part et d'autre de la table. Pendant ces efforts, la sage-femme et votre mari (s'il est présent) vous encourageront et accompagneront le mieux possible votre action. Quand la contraction sera passée, profitez-en pour bien reprendre votre souffle et vous reposer. 




Rapidement, grâce à ces contractions efficaces et bien orientées, la tête de l’enfant va apparaître au niveau de la vulve distendue. Il faut alors suivre attentivement les conseils de la sage-femme. Elle vous demandera d'arrêter de pousser et de vous mettre à respirer très vite et superficiellement, ainsi que vous l'aurez appris pendant la préparation à l'accouchement. Cette manœuvre vous empêchera de pousser, ce qui est indispensable à ce stade en raison du risque de déchirure du périnée. 
C'est également pour prévenir toute déchirure, que l'on est souvent conduit, au moment de l'expulsion, à pratiquer une incision du périnée, l'épisiotomie. 
Une fois la tête de l'enfant sortie, la sage-femme dégagera délicatement les épaules, puis le reste du corps. On sectionne ensuite le cordon ombilical, geste qui provoque normalement le premier cri de votre bébé. Il correspond à sa première respiration, il est très fréquent, mais pas obligatoire. N'ayez donc aucune inquiétude si ce cri ne se produit pas. 
Enfin, l'on déposera l'enfant sur votre ventre. Vous pourrez ainsi le regarder, le toucher, établir le premier contact. Votre bébé est né, mais votre accouchement n'en est pas pour autant terminé.




LA DÉLIVRANCE

On désigne sous ce terme l'expulsion du placenta. Elle survient habituellement quinze à vingt minutes après la naissance du bébé. Elle se manifeste par la reprise de légères contractions, indiquant le décollement du placenta. Le plus souvent, cette délivrance est facile. Il suffit d'appuyer fermement quelques instants sur l'utérus maternel pour qu'elle se produise naturellement. 
Mais, parfois, elle nécessite l'intervention du médecin, qui doit décoller lui-même le placenta : on appelle cette opération une délivrance artificielle. Souvent, on vous fera à ce moment-là une injection intraveineuse (ou dans la tubulure de la perfusion) pour favoriser la rétraction de l'utérus, et éviter ainsi les hémorragies. Cette fois, l'accouchement est bien fini, vous allez pouvoir retourner dans votre chambre avec votre enfant.